Méthodes les plus consultées
Introduire un cathéter (droit ou coudé) stérile avec ballonnet dans la vessie, via le méat urinaire et l’urètre, pour assurer une évacuation continue de l’urine.
Assister l'usager pour prélever un échantillon de selle pour une analyse des produits alimentaires et des sécrétions digestives.
Facteur antihémophilique recombinant (non dérivé du plasma humain) synthétisé par génie génétique à partir d’une lignée cellulaire d’ovaires de hamster chinois.
Toute l'information concernant les vaccins est regroupée dans « Le Protocole d'immunisation du Québec », le P.I.Q., publié par la Protection de la santé publique du Ministère de la Santé et des Services sociaux. Veuillez vous référer à ce protocole à l'adresse suivante : Protocole d'immunisation du Québec Le chapitre 3 du P.I.Q. traite de la responsabilité professionnelle et de certains aspects légaux. La Loi modififant le Code des professions et d'autres dispositions législatives dans le domaine de la santé (Loi 90) est venue modifier certains aspects de l'administration des vaccins au Québec. Dans le cadre de l'exercice infirmier (Article 36 de la Loi sur les infirmières et les infirmiers), parmi les activités réservées à l'infirmière, il y a « procéder à la vaccination dans le cadre d'une activité découlant de l'application de la Loi sur la santé publique ». Les infirmières sont donc habilitées à décider, sans ordonnance individuelle ou collective, d'administrer des produits immunisants. Dans le cadre de l'exercice de l'infirmière auxiliaire (Article 37 du Code des professions), parmi les activités de l'infirmière auxiliaire, il y a « contribuer à la vaccination dans le cadre d'une activité découlant de l'application de la Loi sur la santé publique ». Les infirmières auxiliaires sont maintenant habilitées à administrer un produit immunisant en collaboration avec un médecin ou une infirmière. Au Québec, toute infirmière et toute infirmière auxiliaire qui administre un produit immunisant doit se conformer au P.I.Q.