Méthodes de soins informatisées

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Le cathéter double J est parfois aussi appelé « sonde double J », « cathéter urétéral » ou « stent urétéral ». Il s’agit d’un petit tube souple d’une vingtaine de centimètres qui facilite le drainage de l’urine entre le rein et la vessie. Il est installé en salle d’opération par l’urologue.

Mise en contexte Les médicaments de niveau d'alerte élevé (MNAÉ) comportent un risque accru de causer des préjudices importants aux usagers si une erreur survient lors de leur utilisation (ISMP, 2021). Ces médicaments comprennent notamment les antithrombotiques, les agonistes et antagonistes adrénergiques, les agents antinéoplasiques, les électrolytes concentrés, l'insuline, les narcotiques (opioïdes) et les bloqueurs neuromusculaires. La DVI est une mesure efficace pour détecter des erreurs de préparation de médicaments L'administration de médicaments est une activité réglementée et partagée. Bien que le geste puisse sembler technique, cette activité exige que les intervenants possèdent les connaissances, les habiletés et le jugement clinique requis pour assurer l’évaluation, la surveillance et l’intervention clinique appropriée d'un usager sous thérapie médicamenteuse. Double vérification indépendante (DVI) :  Procédure de vérification effectuée à l’aide des documents de référence présents au dossier par un professionnel autorisé et habilité selon ses activités réservées, autre que celui qui a sélectionné et/ou préparé les médicaments. Cette vérification « indépendante » est effectuée de manière isolée et évite de fausser les perceptions, ce qui rehausse la capacité de déceler une erreur éventuelle. Pour maximiser la valeur ajoutée de la DVI, il faut s’assurer que le premier intervenant (PRÉPARATEUR) ne propose pas les résultats de sa vérification au second intervenant (VÉRIFICATEUR). Médicaments de niveau d’alerte élevé (MNAÉ) :  Les médicaments de niveau d’alerte élevé sont ceux qui présentent un risque accru de causer des préjudices importants au patient s’ils sont utilisés par erreur. Bien que les erreurs mettant en cause ces médicaments ne soient pas plus fréquentes qu’avec les autres produits, leurs conséquences sont assurément plus dévastatrices pour les usagers.

Toute l'information concernant les vaccins est regroupée dans « Le Protocole d'immunisation du Québec », le P.I.Q., publié par la Protection de la santé publique du Ministère de la Santé et des Services sociaux. Veuillez vous référer à ce protocole à l'adresse suivante : Protocole d'immunisation du Québec Le chapitre 3 du P.I.Q. traite de la responsabilité professionnelle et de certains aspects légaux.  La Loi modififant le Code des professions et d'autres dispositions législatives dans le domaine de la santé (Loi 90) est venue modifier certains aspects de l'administration des vaccins au Québec. Dans le cadre de l'exercice infirmier (Article 36 de la Loi sur les infirmières et les infirmiers), parmi les activités réservées à l'infirmière, il y a « procéder à la vaccination dans le cadre d'une activité découlant de l'application de la Loi sur la santé publique ». Les infirmières sont donc habilitées à décider, sans ordonnance individuelle ou collective, d'administrer des produits immunisants. Dans le cadre de l'exercice de l'infirmière auxiliaire (Article 37 du Code des professions), parmi les activités de l'infirmière auxiliaire, il y a « contribuer à la vaccination dans le cadre d'une activité découlant de l'application de la Loi sur la santé publique ». Les infirmières auxiliaires sont maintenant habilitées à administrer un produit immunisant en collaboration avec un médecin ou une infirmière. Au Québec, toute infirmière et toute infirmière auxiliaire qui administre un produit immunisant doit se conformer au P.I.Q.

Préparer l'ensemble des composantes du système de monitorage de pression pour canule artérielle.

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