Méthodes de soins informatisées

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Méthodes les plus consultées

Retrait des 2 aiguilles sécuritaires en utilisant les dispositifs de protection sur les aiguilles, à la fin du traitement d’hémodialyse et assurer la compression adéquate post-retrait, puis l'application du pansement.

Se référer à la section Outils pour les protocoles du CIUSSS. ***Les kits d'extravasation doivent être vérifiés par la CSI/assistante-infirmière chef sur les unités.*** Mots-clés : Extravasation, agents cytotoxiques, antinéoplasiques, chimiothérapie Note : Les patients des sites autre que l'HGJ doivent être référés à l'Urgence de l'HGJ.

La MSI « Administration des médicaments par voie bucco-gingival» se retrouve dans les outils d'établissements à votre droite. DSI Mars 2019

La bride nasale est un dispositif de fixation du tube de nutrition entérale permettant d'en diminuer le déplacement ou le retrait accidentel chez les usagers nécessitant une administration par voie entérale d'aliments, de liquides ou de médicaments. La bride nasale est mise en place par le médecin ou par l'infirmière des soins intensifs et de l'unité de neurologie ayant reçu la formation sous la supervision du médecin habileté ou sous la supervision de l'AIC de l'unité détenant les connaissances et les compétences requises. Comme le dispositif limite la liberté de retirer le tube de nutrition entérale, il est important de s'assurer de sa pertinence avant l'installation et quotidiennement lorsqu'elle est en place. Lors de l'installation, un médecin doit être sur place prêt à intervenir pendant l'installation de la bride nasale.  La bride nasale est installée derrière le septum nasal à l'aide d'un guide magnétique de sorte qu'elle ressorte de chaque narine et soit fixée au tube de nutrition à l'aide d'une attache de fixation. Système de retenue du tube nasal AMT Bridle Pro© Dispositif complet                                                                                                                                                                                                                                                                            

La loi 90 a introduit la possibilité pour les médecins de faire des ordonnances collectives. L’ordonnance collective est un outil qui favorise l’interdisciplinarité et permet au médecin de se concentrer sur les activités qu’il est le seul à pouvoir exercer. Les ordonnances collectives contribuent tant pour les usagers sur civières que pour les usagers ambulatoires, à améliorer la qualité et l’accessibilité des soins (Cabilan et Boyde, 2017 ; Dewhirst et al. 2017 ; Lacroix et Borgès Da Silva, 2018 dans OIIQ-CMQ, 2019) de même qu’à harmoniser les interventions et les traitements des problèmes de santé fréquemment observés à l’urgence. Il faut donc en favoriser l’usage. Ces ordonnances peuvent viser notamment le recours à des mesures diagnostiques (analyses de laboratoire, examens radiologiques, etc.) ou thérapeutiques (soulagement de la douleur) à partir du triage ou du secteur d’évaluation, et à administrer ou à ajuster certains médicaments. Cette mesure permet d’accélérer le processus de soins, voire de soulager l’usager lorsqu’il est dans l’aire d’attente. Intervenir tôt contribue à améliorer la qualité et la sécurité des soins tout en diminuant la durée de séjour de l’usager à l’urgence. Lorsqu’une ordonnance collective a été appliquée à l’urgence et que l’usager quitte sans avoir vu le médecin, un suivi doit parfois être assuré par ce dernier en lien avec les résultats obtenus (laboratoire, radiographie) afin d’assurer la sécurité de l’usager et une prise en charge adaptée et optimale à sa condition de santé. Chaque urgence doit établir une procédure locale adaptée à son contexte afin d’assurer le suivi des résultats anormaux.

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